Incendies, maladies, bris de glaces, annulation voyage, rupture des cordes vocales de Mariah Carey … On jurerait que derrière n’importe quel risque se cache un assureur prêt à vous alléger le portefeuille en échange d’une certaine tranquillité d’esprit. 
N’importe lequel ? Et si demain, après-demain ou dans 3 ans, vous réalisez soudainement que votre espérance de vie est plus courte, vous plongeant dans une fièvre consumériste ? Préférez-vous disposer d’un petit pactole pour satisfaire cette dernière et profiter au maximum de vos jours désormais comptés ? Ou préférez-vous à l’inverse en bénéficier tant que vous êtes jeune et insouciant ? 

Il paraît difficile d’assurer un tel risque et de nous garantir par exemple un pécule au cas où notre décès nous paraîtrait soudainement moins lointain, nous poussant ainsi à liquider notre patrimoine. Comment dans ce cas remplacer les assureurs ?