Lorsque l’Intelligence Artificielle a pour objectif de doter les systèmes autonomes de nouvelles fonctions (véhicule + autonome, caméra + intelligente, robotique + mobile, objet + connecté …), la recherche doit alors combiner la puissance d’algorithmes de réseaux de neurones bio-inspirés à l’efficacité de calculateurs électroniques embarqués. C’est le double défi auquel les chercheurs du groupe eBRAIN du laboratoire LEAT s’attaquent depuis plusieurs années. Ils présenteront sur ce stand certains de leurs résultats sur la conception de puces neuromorphiques faible consommation dans différents contextes applicatifs.